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Leonel KetchaFait
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La Charte d'équipe engagée pour avoir des équipes projets plus engagées, même sans autorité hiérarchique
Cohen Raphael HFait
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Grâce aux best practices de la nouvelle norme ISO 56007, la phase du préprojet n'est plus condamnée à être le maillon faible qui plombe la gestion de projet
Cohen Raphael HFait
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Initiez-vous à la méthode HERMES
Serge SchiltzFait
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L’IA Générative au service du Management de Projet pour rendre possibles le Collaborateur et l’Entreprise Augmentés
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Comment s'inspirer du principe Do No Harm dans l'analyse des risques
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KEYNOTE MATIN
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Construire le pont entre la vision d'entreprise et le portefeuille de projets
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Communication en gestion de projet : maîtriser la compétence clé de demain
Gauthier DamienFait
Le leurre technologique : activité sans humanité égale ruine des projets.
Lieu : 126
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24/04/2025 11:45
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24/04/2025 12:45
(Europe/Zurich)
(1 heure)
Martin Yannis
Yannis Martin est Ingénieur et Sociologue de formation. Muni d'une expérience de 15 ans en gestion de projets et management de transition, il est fondateur de NISTIN et cofondateur d'OMK. Consultant et formateur certifié COBIT® 2019, ITIL® 4, PECB Certified Trainer et PRINCE2®, ses compétences couvrent la gouvernance, la sécurité informatique, et le pilotage de projets, faisant de lui un atout précieux pour optimiser les processus et gérer la transformation numérique des entreprises. Conférencier depuis 2019, il intervient régulièrement lors d'événements internationaux : d'Agile Tour à Devopsdays, ou encore au congrès de l'IIBA et de la SMP. Il enrichit ce parcours d'une démarche académique en devenant Enseignant temporaire à l'Université d'Avignon en 2021 et entreprend une thèse en 2024 sur l'apport de l'IA aux systèmes complexes.
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Face au fleurissement de nombreux experts en IA et aux promesses d'émancipation technologique de l'homme pour mieux faire le travail par la machine. La dite révolution technologique, que nous constatons depuis quelques années, dépossède l'homme de sa propre compétence, elle est en son essence émancipation, et augure le transfert vers un commandement de logique formelle, in fine automatisé. Se pose dés lors la question de la déshumanisation de l'activité de chef de projets et de la place de ce dernier au niveau de son activité. Nos compétences, à fortiori celle de notre capacité humaine de gérer les relations, n'est elle pas ce qu'il faudrait promouvoir pour pérenniser l'activité de l'homme face à la machine. Ainsi bien se servir de ces assistants toujours plus performants en leur laissant justement cette place d'aide à la décision. |